LA RADIO COMMUNAUTAIRE
DE L'ESTRIE

Écoutez-nous

Émission en cours

  • RadioBot
Nos Émissions Affaires et vie communautaire

De chansons et de réflexions

Émission matinale

En alternance aux deux semaines -Le logement, un droit / Émission de science

En alternance, aux deux semaines – Points de vue / De chansons et de réflexions

Benoit Paré & Steve Coté

En alternance, aux deux semaines – La Voix de l’itinérance / Tant qu’à consommer

ESB Show (École secondaire de Bromptonville)

J’aime le communautaire

L’Heure Saint-Michel

La Voix de l’itinérance

Les meilleures conversations de Pele Mele

Points de vue

Steve Coté

Tant qu’à consommer
Nos Émissions Arts et culture

Arts d’oeuvres

Arts d’oeuvres Édition semaine

CFLX prend la rue – Lancement de programmation de CFLX

Cochaux Show

Pêle Mêle

Trames Sonores

Vivement l’Estrie
Nos Émissions Sports et loisirs

Balados de l’OQL

Phoenix de Sherbrooke (LHJMQ)

Rendez-vous Nature

Sports Estrie
Nos Émissions Musique

34ème édition du Party du jour de l’An

Alerte Métallique

Bleu Jazz

Brooke City Radio

Calor latino

Chansons de circonstance

Clic Franco

Club Country

Dans la peau…

Décibel Chansons

Diapason

Douceurs musicales

Filières Rock

Juke Box International des prénoms

La chanson francophone hors des sentiers battus du Dimanche

La chanson francophone hors des sentiers battus du Lundi

La Séance Hip Hop de Sherbrooke

Le Maître du Métal

Le monde de rock la nuit

Le rock et ses racines

Les légendes du country au Québec

Les Nuits Impossibles

Maniaco Progressif

Musique des années 1980

OK Boomer

Partir en balade

Rendez-vous du country centre-ville

Sous un ciel Blues

Tout l’monde en place

Zeste au hasard

Zeste musical

Zeste musical en direct

Zeste musical en remixe

Les députées Brière et Bibeau dénoncent la violence faite aux femmes

4 décembre 2020

Sherbrooke, le 6 décembre 2020 – Les députées fédérales de Sherbrooke et de Compton-Stanstead, Élisabeth Brière et Marie-Claude Bibeau, unissent leur voix pour souligner la Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes. Le 6 décembre est l’occasion d’honorer les victimes et de dénoncer la violence, mais aussi de réfléchir et d’agir face aux répercussions dévastatrices de ce fléau sur les femmes, les familles et les communautés en Estrie comme partout au pays.

La pandémie et le confinement qui a suivi ont grandement aggravé la situation au pays. L’augmentation du nombre d’appels de détresse en témoigne. Déjà, avant la COVID-19, une femme était tuée par son partenaire tous les six jours. Une Canadienne sur deux âgée de 16 ans et plus avait été victime de violence physique ou sexuelle au moins une fois dans sa vie. Chaque nuit, en moyenne, 5 000 femmes et enfants dorment dans des maisons d’hébergement pour fuir la violence domestique.

Face à la pandémie, plus d’un millier d’organismes d’aide aux femmes et aux victimes de violence ont pu bénéficier du soutien fédéral d’urgence de 100 millions $, dont 8,76 millions $ au Québec. En Estrie, les refuges comme L’Escale, la Maison Séjour et la Méridienne ont chacune reçu 33 000 $. Le Centre d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) a pour sa part reçu 10 000 $. Ces mesures spécifiques s’ajoutent aux autres enveloppes communautaires, comme les 9 049 $ versés via Centraide-Estrie au Centre des femmes du Haut-Saint-François La Passerelle.

« Le 6 décembre 1989 », se rappelle Élisabeth Brière, « je me souviens tout à fait être assise sur les bancs d’université, tout comme ces 14 étudiantes, pleines d’avenir et d’ambition, assassinées dans cet acte brutal envers les femmes. Alors que la pandémie de la COVID-19 a entraîné une augmentation de la violence faite aux femmes à Sherbrooke, je demeure engagée et déterminée à soutenir nos maisons d’hébergement et nos organismes locaux pour prévenir et contrer la violence fondée sur le genre. »

Soulignée depuis 1991 par le Parlement du Canada en mémoire des 14 jeunes femmes assassinées le 6 décembre 1989 à l’école polytechnique de Montréal, cette journée s’inscrit dans le cadre des 16 jours d’activisme contre la violence fondée sur le sexe (VFS), lancées le 25 novembre dernier lors de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, qui s’achèvent le 10 décembre avec la Journée internationale des droits de la personne.

“Ça fait beaucoup de journées pour nous rappeler cette tragique réalité vécue à longueur d’année. Prévenir la violence et aider les victimes sont toujours des priorités. Pandémie ou pas, notre gouvernement appuie les centres d’aide. Ces femmes, ce sont nos mères et nos sœurs, nos collègues, nos conjointes et nos filles. Pour les protéger, les hommes ont aussi un rôle-clef à jouer. La violence, comme le silence, n’est pas une option. Dans les circonstances, l’isolement appelle à plus de vigilance. Il y a toujours une solution, une ressource à votre disposition”, insiste Marie-Claude Bibeau qui a été au cœur de la Politique féministe de développement international du Canada.

Depuis 2015, le gouvernement du Canada a investi plus d’un milliard $ en programmes et initiatives pour contrer la violence fondée sur le genre et aider les personnes touchées par celle-ci. C’est aussi notre gouvernement qui a fait de Condition féminine Canada un ministère à part entière et renforcé les lois en faveur d’un système de justice qui traite les victimes avec la dignité et le respect qu’elles méritent.

Le gouvernement du Canada travaille présentement, en partenariat avec les provinces, à élaborer un plan national pour contrer ce fléau de la violence fondée sur le sexe afin d’assurer un meilleur accès aux services dont les victimes ont besoin.

Contact médias :

Olivia Scieur-Aparicio, Attachée de presse Bureau d’Élisabeth Brière Députée de Sherbrooke M.P. Secrétaire parlementaire de la ministre du Développement économique et des Langues officielles

Emmy Grand-Maison, Adjointe de circonscription Bureau de l’hon. Marie-Claude Bibeau Députée de Compton-Stanstead M.P. Ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire

Ajouter une réponse